![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
> Innertkirchen (615 m) | L'Isle (646 m) | Lauterbrunnen (682 m) | Orsières (684 m) | Blonay-Chamby (685 m) | Engelberg (717 m) | |
Réseau MIB (Meiringen - Innertkirchen-Bahn) |
Dessertes Meiringen-MIB - Innertkirchen (BE) |
Voie 1 m |
Tens. 1200 V= |
Long. 4 km 830 |
Altitude maximale 636 m, Innetkirchen Altitude minimale 595 m, Meiringen |
||
Chronologie 1912 (24 août) : ouverture du MRA (Meiringen - Reichenbach - Aareschlucht), en traction électrique dès l'origine. 1926 (1er août) : ouverture du MIB, ligne divergente par rapport à celle du MRA. 1956 (16 septembre) : suppression du MRA. 1977 (19 novembre) : électrification du MIB. |
|||||||
![]() |
Réseau BAM (Bière - Apples - Morges) > Plan | Site |
![]() |
Dessertes (Morges -) Apples - L'Isle-Mont-la-Ville (VD) |
Voie 1 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 10 km 600 (total BAM : 29 km 680) |
Altitude maximale 666 m, L'Isle-Mont-la-Ville Altitude minimale 626 m, Le Manège |
![]() |
Chronologie 1896 (12 septembre) : ouverture de l'AL (Apples - L'Isle). 1899 (1er juillet) : reprise de l'AL par le BAM. 1943 (1er juillet) : électrification. |
|||||
![]() |
Réseau BOB Berner Oberland Bahn > Plan |
![]() |
Dessertes Interlaken-Ost - Zweilütschinen - Lauterbrunnen (BE) |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 1500 V= |
Long. 12 km 300 (total BOB à voie métrique : 23 km 450) |
Altitude maximale 797 m, Lauterbrunnen Altitude minimale 567 m, Interlaken-Ost |
|
Chronologie 1890 (1er juillet) : ouverture de Interlaken-Ost - Lauterbrunnen. 1914 (17 mars) : électrification. Info + La première étape vers le Jungfraujoch, le toit ferroviaire de l'Europe : à Lauterbrunnen, la correspondance avec le train WAB (Wengernalp-Bahn) mène vers Wengen et Kleine Scheidegg, et de là, une deuxième correspondance, par le JB (Jungfraubahn), mène vers le Jungfraujoch. |
|||||||
![]() |
Réseau M0 (Martigny - Orsières) / TMR (Transports de Martigny et Région) > Plan | Site |
![]() |
Dessertes Martigny - Sembrancher - Orsières (VS) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 19 km 340 (Total MO : 25 km 520) |
Altitude maximale 902 m, Orsières Altitude minimale 467 m, Martigny |
Chronologie 1910 (1er septembre) : ouverture de Martigny - Orsières, en traction électrique 8 kV ~ 15 Hz dès l'origine. 1949 (16 février) : transformation en 15 kV ~ 16 2/3 Hz. Info + Une ligne qui laisse comme un goût d'inachevé, car elle était censée relier Aoste en Italie, via le Grand-St-Bernard, d'où son équipement en voie normale. |
||||||
![]() |
Réseau BC (Chemins de fer-musée Blonay - Chamby) > Plan | Site |
![]() |
Dessertes Blonay - Chamby (VD) |
Voie 1 m |
Tens. 900 V= |
Long. 2 km 950 |
Altitude maximale 750 m, Chamby Altitude minimale 620 m, Blonay |
![]() |
Chronologie 1902 (1er octobre) : ouverture des CEV (Chemins de fer Électriques Veveysans) sur Vevey - Blonay - Chamby, en traction électrique dès l'origine. 1966 (21 mai) : suppression du service régulier sur Blonay - Chamby (installations électriques maintenues). 1968 (20 juillet) : réouverture sous forme de chemin de fer touristique. 1998 (24 mai) : reprise du service régulier sur Blonay - Chamby les jours ouvrables (coexistence avec les circulations touristiques en été). 2000 (fin mai) : nouvelle suppression du service régulier sur Blonay - Chamby. Info + À l'origine l'une des branches terminales du CEV, le Blonay - Chamby est devenu une ligne touristique associant traction vapeur, électrique et diesel. Ce chemin de fer est doté d'un musée, situé à Chaulin (près de Chamby). Il offre correspondance à ses deux extrémités : CEV (Chemins de fer Veveysans) à Blonay, et MOB (Montreux - Oberland Bernois) à Chamby. La ligne a accueilli, de manière éphémère (1998-2000) des circulations régulières, dénommées « Chemin de fer léger de la Riviera » (en matériel surbaissé type tramway) entre Vevey, Blonay, Chamby et Montreux. Aujourd'hui, le chemin de fer léger de la Riviera circule sur deux sections séparées, Vevey - Blonay et Montreux - Chamby. |
|||||
![]() |
Réseau LSE (Luzern - Stans - Engelberg) > Site |
![]() |
Dessertes (Luzern -) Hergiswil - Engelberg (NW) |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 24 km 780 |
Altitude maximale 999 m, Engelberg Altitude minimale 436 m, Stansstad |
![]() |
Chronologie 1893 (26 août) : ouverture du StSt (Strassenbahn [tramway] Stansstad - Stans), en traction électrique 500 V= dès l'origine. 1898 (5 octobre) : ouverture du StEB (Stansstad - Engelberg-Bahn), en traction électrique 750-850 V triphasé 33 Hz dès l'origine. 1903 (30 septembre) : suppression du StSt (ligne proche de celle du StEB entre Stansstad et Stans). 1964 (21 octobre) : le StEB est rebaptisé LSE. 1964 (19 décembre) : ouverture de (Luzern -) Hergiswil - Stansstad, en traction électrique 15 kV ~ 16 2/3 Hz dès l'origine. 1964 (19 décembre) : réélectrification de Stansstad en 15 kV ~ 16 2/3 Hz dès l'origine. |
|||||
![]() |
Réseau (CFF) SBB-Brünig > Plan | Site |
![]() |
Dessertes Luzern (LU) - Interlaken-Ost (BE) |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 73 km 860 |
Altitude maximale 1002 m, Brünig-Hasliberg Altitude minimale 436 m, Luzern |
![]() |
Chronologie 1888 (14 juin) : ouverture d'Alpnachstad - Brienz par le JBL (Jura - Bern - Luzern). 1889 (1er juin) : ouverture de Luzern (Lucerne) - Alpnachstad par le JBL. 1890 (1er janvier) : reprise du JBL par le JS (Jura - Simplon). 1903 (1er mai) : reprise du JS par les CFF. 1916 (23 août) : ouverture de Brienz - Interlaken-Ost par les CFF. 1941 (18 novembre) : électrification de Luzern - Meiringen. 1942 (24 décembre) : électrification de Meiringen - Interlaken-Ost. Info + Le maillon oriental du Golden Pass. Le Brünig (du nom du col traversé, qui marque la transition entre l'Oberland bernois et la Suisse centrale) présente la particularité d'être la seule ligne à voie métrique des CFF. Cela est dû à l'histoire et au jeu des fusions entre compagnies : le Jura - Bern - Luzern, compagnie originelle qui a construit le premier tronçon du Brünig, a été repris par le Jura - Simplon, lui-même l'un des « ancêtres » des CFF. |
|||||
![]() |
Réseau AOMC (Aigle - Ollon - Monthey - Champéry) / TPC (Transports Publics du Chablais) > Plan | Site |
![]() |
Dessertes Aigle (VD) - Monthey (VS) - Champéry |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 950 V= |
Long. 23 km 380 |
Altitude maximale 1043 m, Champéry-Village Altitude minimale 404 m, Aigle |
Chronologie 1907 (3 avril) : ouverture d'Aigle - Monthey-Ville, par l'AOM (Aigle - Ollon - Monthey), en traction électrique dès l'origine. 1908 (1er février) : Monthey-Ville - Champéry-Village, par le MCM (Monthey - Champéry - Morgins), en traction électrique dès l'origine. 1909 (1er avril) : Monthey-Ville - Monthey-CFF, par le MCM, en traction électrique dès l'origine. 1946 (1er janvier) : création de l'AOMC, par fusion de l'AOM et du MCM. 1976 (11 juillet) : suppression de Monthey-Ville - Monthey-CFF. 1977 (1er juin) : création des TPC, qui n'est pas une société, mais une communauté d'exploitation, avec direction commune, de AOMC, AL (Aigle - Leysin), ASD (Aigle - Sépey - Diablerets) et BVB (Bex - Villars - Bretaye). 1990 (22 décembre) : ouverture de Champéry-Village - Champéry, en traction électrique dès l'origine. 1999 (1er juillet) : TPC devient une société à part entière, suite à la fusion de AL, AOMC, ASD et BVB. Info + La gare récente de Champéry (1990), présente la particularité d'être commune au train AOMC et au téléphérique des Planachaux : pour effectuer la correspondance intermodale, il suffit de traverser le quai ! |
||||||
![]() |
Réseau Bulle - Broc GFM (Gruyères - Fribourg - Morat, auj. Chemins de fer fribourgeois) > Plan |
Dessertes Bulle - Broc (FR) |
Voie 1 m |
Tens. 900 V= |
Long. 5 km 440 (Total GFM à voie métrique : 48 km 940) |
Altitude maximale 771 m, Bulle Altitude minimale 704 m, Les Marches |
|
![]() |
Chronologie 1912 (29 janvier) : ouverture de Bulle - Les Marches par les CEG (Chemins de fer Électriques de la Gruyère), en traction électrique dès l'origine. 1912 (24 juin) : ouverture de Les Marches - Broc Fabrique, en traction électrique dès l'origine. 1942 (1er janvier) : reprise des CEG par le GFM. |
|||||
![]() |
Réseau RVT (Régional Val-de-Travers) / TRN (Transports Régionaux Neuchâtelois : identification commune aux réseaux régionaux) > Plan | Site |
![]() |
Dessertes Travers - Buttes (NE) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 13 km 590 |
Altitude maximale 769 m, La Presta Altitude minimale 728 m, Buttes |
Chronologie 1883 (24 septembre) : ouverture Travers - Fleurier - St-Sulpice. 1886 (11 septembre) : Fleurier - Buttes. 1944 (4 mai) : électrification. 1973 (2 juin) : suppression du service régulier sur Fleurier - St-Sulpice, avec maintien de circulations touristiques sporadiques. 1990 : création de l'identification régionale commune TRN. |
||||||
![]() |
Réseau YSteC (Yverdon - Ste-Croix) / TRAVYS (Transports Vallée de Joux - Yverdon-Ste-Croix) > Site | Photos |
![]() |
Dessertes Yverdon - Ste-Croix (VD) |
Voie 1 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 24 km 160 |
Altitude maximale 1066 m, Ste-Croix Altitude minimale 434 m, Yverdon |
![]() |
![]() 1893 (27 novembre) : ouverture. 1945 (25 janvier) : électrification. 2001 (juillet) : création de l'identification régionale commune TRAVYS. |
|||||
![]() |
Réseau La Gruyère GFM (Gruyères - Fribourg - Morat, auj. Chemins de fer fribourgeois) > Plan |
Dessertes Palézieux - Bulle - Montbovon (FR) |
Voie 1 m |
Tens. 900 V= |
Long. 43 km 500 (Total GFM à voie métrique : 48 km 940) |
Altitude maximale 858 m, Semsales Altitude minimale 668 m, Palézieux |
|
![]() |
Chronologie 1901 (29 avril) : ouverture du CP (Châtel-St-Denis - Palézieux), en traction électrique dès l'origine. 1903 (23 juillet) : ouverture de Châtel-St-Denis - Vuadens par les CEG (Chemins de fer Électriques de la Gruyère), en traction électrique dès l'origine. 1903 (23 juillet) : ouverture de La Tour-de-Trême - Montbovon par les CEG, en traction électrique dès l'origine. 1904 (2 avril) : ouverture de (Vevey -) St-Légier - Châtel-St-Denis par les CEV (Chemins de fer Électriques Veveysans), en traction électrique dès l'origine. 1904 (14 juillet) : ouverture de Vuadens - Bulle par les CEG, en traction électrique dès l'origine. 1904 (21 septembre) : ouverture de Bulle - La Tour-de-Trême par les CEG, en traction électrique dès l'origine. 1907 (20 décembre) : reprise du CP par les CEG. 1942 (1er janvier) : reprise des CEG par le GFM. 1969 (31 mai) : suppression du tronçon CEV St-Légier - Châtel-St-Denis. Info + Plus connue sous le nom de « La Gruyère », du nom de la région traversée, cette ligne vit dans l'ombre de son prestigieux voisin, le MOB (Montreux - Oberland Bernois), à qui elle donne correspondance à Montbovon. Le GFM-Gruyère et le MOB partagent le même écartement de voie, la même tension électrique, et ont presque la même longueur, du moins pour ce qui est de la Suisse romande : 43 km 500 pour la Gruyère (Palézieux - Montbovon), 42 km pour le MOB en territoire romand (Montreux - Montbovon - Rougemont; 75 km 220 au total jusqu'à Lenk). L'ensemble GFM Palézieux - Bulle - Montbovon / Broc + MOB forme, avec 124 km 160 (dont 90 km 940 en Romandie), le plus grand ensemble à voie métrique partiellement situé en Suisse romande. Des trains spéciaux à vocation touristique circulent sporadiquement sur les deux réseaux juxtaposés (« train du chocolat » Montreux - Broc, « Nature et Nostalgie » Bulle - Gstaad, etc.). |
|||||
![]() |
Réseau Romont - Bulle GFM (Gruyères - Fribourg - Morat, auj. Chemins de fer fribourgeois) > Plan |
Dessertes Romont - Bulle (FR) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 18 km 190 |
Altitude maximale 837 m, Sâles Altitude minimale 707 m, Romont |
|
Chronologie 1868 (1er juillet) : ouverture du BR (Bulle - Romont). 1942 (1er janvier) : reprise du BR par le GFM. 1946 (8 mai) : électrification. |
||||||
![]() |
Réseau M0 (Martigny - Orsières) / TMR (Transports de Martigny et Région) > Plan | Site |
![]() |
Dessertes Sembrancher - Le Châble (VS) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 6 km 180 (Total MO : 25 km 520) |
Altitude maximale 837 m, Le Châble Altitude minimale 717 m, Sembrancher |
Chronologie 1953 (5 août) : ouverture de la branche divergente Sembrancher - Le Châble, en traction électrique dès l'origine. Info + Une branche construite initialement pour les travaux du grand barrage de Mauvoisin. |
||||||
![]() |
Réseau ASD (Aigle - Sépey - Diablerets) / TPC (Transports Publics du Chablais) > Plan | Site |
![]() |
Dessertes Aigle - Les Diablerets (VD) |
Voie 1 m |
Tens. 1500 V= |
Long. 23 km 340 |
Altitude maximale 1155 m, Les Diablerets Altitude minimale 404 m, Aigle |
![]() |
Chronologie 1913 (22 décembre) : ouverture d'Aigle - Les Planches - Le Sépey, en traction électrique dès l'origine. 1914 (7 juillet) : ouverture de Les Planches - Les Diablerets, branche divergente par rapport à la courte antenne du Sépey, en traction électrique dès l'origine. 1977 (1er juin) : création des TPC, qui n'est pas une société, mais une communauté d'exploitation, avec direction commune, de ASD, AL (Aigle - Leysin), AOMC (Aigle - Ollon - Monthey - Champéry) et BVB (Bex - Villars - Bretaye). 1999 (1er juillet) : TPC devient une société à part entière, suite à la fusion de AL, AOMC, ASD et BVB. |
|||||
![]() |
Réseau BLS-Simmentalbahn > Site |
![]() |
Dessertes Spiez - Zweisimmen (BE) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 23 km 050 |
Altitude maximale 942 m, Zweisimmen Altitude minimale 624 m, Lattigen bei Spiez |
Chronologie 1897 (16 août) : ouverture du SEB (Spiez - Erlenbach-Bahn) entre Spiezmoos et Erlenbach. 1902 (31 octobre) : ouverture du EZB (Erlenbach - Zweisimmen-Bahn). 1915 (10 novembre) : Spiez - Spiezmoos. 1920 (1er juillet) : électrification du SEB. 1920 (2 novembre) : électrification de l'EZB. 1942 (1er janvier) : création du SEZ (Spiez - Erlenbach - Zweisimmen) par fusion du SEB et de l'EZB. 1997 (1er janvier) : reprise du SEZ par le BLS (Bern - Lötschberg - Simplon). Info + Ce secondaire à voie normale constitue le maillon central de l'itinéraire Golden Pass : à Zweisimmen, il relève la correspondance MOB; à Spiez, il donne correspondance vers Interlaken (certains trains circulent directement de Zweisimmen à Interlaken). Le Simmentalbahn est une des branches régionales du BLS, réseau privé mais assurant un trafic de dimension nationale (comme les CFF), entre le Berner Mittelland (région de Berne), le Berner Oberland (région montagneuse autour d'Interlaken et Spiez) et le Simplon (jonction à Brigue du BLS et de la ligne CFF de Genève, en direction de l'Italie). |
||||||
![]() |
Réseau CJ (Chemins de fer du Jura) > Plan | Site | Photos |
![]() |
Dessertes La Chaux-de-Fonds (NE) - Le Noirmont (JU) - Glovelier |
Voie 1 m |
Tens. 1500 V= |
Long. 51 km 330 (total CJ à voie métrique : 74 km 310) |
Altitude maximale 1072 m, Bellevue Altitude minimale 506 m, Glovelier |
![]() |
Chronologie 1892 (7 décembre) : ouverture du SC (Saignelégier - Chaux-de-Fonds). 1904 (21 mai) : prolongement par le RSG (Régional Saignelégier - Glovelier) initialement à voie normale. 1944 (1er janvier) : le RSG et le SC sont repris par la société commune CJ. 1948 (8 mai) : suspension du service voyageurs entre Saignelégier et Glovelier. 1953 (13 mars) : électrification Saignelégier - La Chaux-de-Fonds. 1953 (4 octobre) : transformation à voie métrique et électrification de Saignelégier - Glovelier, avec reprise du service voyageurs. Info + Avec 74 km 310, le CJ Chaux-de-Fonds - Noirmont - Glovelier / Tavannes forme le plus grand réseau à voie métrique entièrement situé en Suisse romande. |
|||||
![]() |