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Réseau MTGN (Montreux - Territet - Glion - Rochers-de-Naye) / MVR (Montreux - Vevey - Riviera) / Golden Pass Services > Plan | Site |
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Dessertes Montreux - Rochers-de-Naye (VD) |
Voie 80 cm à crémaillère |
Tens. 900 V= |
Long. 10 km 360 |
Altitude maximale 1973 m, Rochers-de-Naye Altitude minimale 395 m, Montreux |
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Chronologie 1892 (2 juillet) : ouverture Glion - Caux par le GN (Glion - Rochers-de-Naye). 1892 (28 juillet) : ouverture Caux - Rochers-de-Naye. 1909 (8 avril) : ouverture du MGI (Montreux - Glion), en traction électrique dès l'origine. 1938 (22 juillet) : électrification Glion - Naye par le GN. 1987 (1er janvier) : fusion du MGI et du GN en MGN (Montreux - Glion - Naye). 1992 (1er janvier) : fusion du chemin de fer MGN et du funiculaire TG (Territet - Glion, mis en service le 19 août 1883) en MTGN. 2001 (1er janvier) : reprise du MTGN par le MVR (partie intégrante de GoldenPass Services, nouveau nom du groupe MOB). Info + L'un des rares chemins de fer à voie étroite à ne pas être à écartement métrique (à noter à ce propos que Montreux est la seule gare suisse à accueillir trois écartements différents : CFF à voie normale, MOB à voie métrique, MTGN à voie de 80 cm). Le MTGN possède le point culminant de Suisse romande (Rochers-de-Naye, alt. 1973 m) et le plus fort dénivelé (1578 m sur 10 km 360, soit une déclivité moyenne de 152 ‰). |
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Réseau CEV (Chemins de fer Veveysans) / MVR (Montreux - Vevey - Riviera) / Golden Pass Services > Plan | Site |
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Dessertes Vevey - Blonay - Les Pléiades (VD) |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 900 V= |
Long. 10 km 510 |
Altitude maximale 1348 m, Les Pléiades Altitude minimale 386 m, Vevey |
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Chronologie 1902 (1er octobre) : ouverture des CEV (Chemins de fer Électriques Veveysans) sur Vevey - St-Légier - Blonay - Chamby, en traction électrique dès l'origine. 1904 (2 avril) : ouverture de St-Légier - Châtel-St-Denis, branche divergente par rapport à celle de Blonay, en traction électrique dès l'origine. 1911 (8 juillet) : ouverture de Blonay - Les Pléiades, section à crémaillère, en traction électrique dès l'origine. 1911 (23 novembre) : ouverture du CCB (Clarens - Chailly - Blonay), en traction électrique dès l'origine. 1955 (31 décembre) : suppression du CCB. 1969 (31 mai) : suppression du tronçon St-Légier - Châtel-St-Denis. 2001 (1er janvier) : reprise du CEV par le MVR (partie intégrante de GoldenPass Services, nouveau nom du groupe MOB). |
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Réseau BAM (Bière - Apples - Morges) > Plan | Site |
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Dessertes (Morges -) Apples - L'Isle-Mont-la-Ville (VD) |
Voie 1 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 10 km 600 (total BAM : 29 km 680) |
Altitude maximale 666 m, L'Isle-Mont-la-Ville Altitude minimale 626 m, Le Manège |
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Chronologie 1896 (12 septembre) : ouverture de l'AL (Apples - L'Isle). 1899 (1er juillet) : reprise de l'AL par le BAM. 1943 (1er juillet) : électrification. |
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Réseau CJ (Chemins de fer du Jura) > Plan | Site |
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Dessertes Porrentruy - Bonfol (JU) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 10 km 890 |
Altitude maximale 447 m, Vendlicourt Altitude minimale 423 m, Porrentruy |
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Chronologie 1901 (14 juillet) : ouverture de la ligne RPB (Régional Porrentruy - Bonfol). 1910 (1er novembre) : prolongement vers l'Alsace (faisant alors partie de l'Allemagne) de Bonfol à Pfetterhouse et Dannemarie. 1944 (1er janvier) : le RPB est repris par la société commune CJ (dont il est le seul élément à voie normale). 1946 (14 février) : suppression du service voyageurs transfrontalier Bonfol - Pfetterhouse (suppression totale le 4 janvier 1970). 1952 (18 mai) : électrification. |
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Réseau BOB Berner Oberland Bahn > Plan |
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Dessertes (Interlaken-Ost -) Zweilütschinen - Grindelwald (BE) |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 1500 V= |
Long. 11 km 150 (total BOB à voie métrique : 23 km 450) |
Altitude maximale 1034 m, Grindelwald Altitude minimale 652 m, Zweilütschinen |
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Chronologie 1890 (1er juillet) : ouverture de Zweilütschinen - Grindelwald. 1914 (17 mars) : électrification. Info + La première étape vers le Jungfraujoch, le toit ferroviaire de l'Europe : à Grindelwald, la correspondance avec le train WAB (Wengernalp-Bahn) mène vers Kleine Scheidegg, et de là, une deuxième correspondance, par le JB (Jungfraubahn), mène vers le Jungfraujoch. |
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Réseau BOB Berner Oberland Bahn > Plan |
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Dessertes Interlaken-Ost - Zweilütschinen - Lauterbrunnen (BE) |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 1500 V= |
Long. 12 km 300 (total BOB à voie métrique : 23 km 450) |
Altitude maximale 797 m, Lauterbrunnen Altitude minimale 567 m, Interlaken-Ost |
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Chronologie 1890 (1er juillet) : ouverture de Interlaken-Ost - Lauterbrunnen. 1914 (17 mars) : électrification. Info + La première étape vers le Jungfraujoch, le toit ferroviaire de l'Europe : à Lauterbrunnen, la correspondance avec le train WAB (Wengernalp-Bahn) mène vers Wengen et Kleine Scheidegg, et de là, une deuxième correspondance, par le JB (Jungfraubahn), mène vers le Jungfraujoch. |
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Réseau RVT (Régional Val-de-Travers) / TRN (Transports Régionaux Neuchâtelois : identification commune aux réseaux régionaux) > Plan | Site |
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Dessertes Travers - Buttes (NE) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 13 km 590 |
Altitude maximale 769 m, La Presta Altitude minimale 728 m, Buttes |
Chronologie 1883 (24 septembre) : ouverture Travers - Fleurier - St-Sulpice. 1886 (11 septembre) : Fleurier - Buttes. 1944 (4 mai) : électrification. 1973 (2 juin) : suppression du service régulier sur Fleurier - St-Sulpice, avec maintien de circulations touristiques sporadiques. 1990 : création de l'identification régionale commune TRN. |
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Réseau CMN (Chemins de fer des montagnes neuchâteloises) / TRN (Transports Régionaux Neuchâtelois : identification commune aux réseaux régionaux) > Plan | Site | Photos |
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Dessertes La Chaux-de-Fonds - Les Ponts-de-Martel (NE) |
Voie 1 m |
Tens. 1500 V= |
Long. 16 km 230 |
Altitude maximale 1120 m, La Corbalière Altitude minimale 994 m, La Chaux-de-Fonds |
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Chronologie 1889 (26 juillet) : ouverture du PSC (Pont - Sagne - Chaux-de-Fonds). 1947 (1er janvier) : reprise par la société commune CMN. 1950 (13 mai) : électrification. 1990 : création de l'identification régionale commune TRN. |
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Réseau BVB (Bex - Villars - Bretaye) / TPC (Transports Publics du Chablais) > Plan | Site |
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Dessertes Bex - Villars - Col-de-Bretaye (VD) |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 750 V= |
Long. 17 km 090 |
Altitude maximale 1808 m, Col-de-la-Bretaye Altitude minimale 411 m, Bex |
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Chronologie 1898 (10 septembre) : ouverture de Bex - Bévieux, par le BGV (Bex - Gryon - Villars), en traction électrique dès l'origine. 1900 (4 juin) : Bévieux - Gryon, en traction électrique dès l'origine. 1901 (10 juin) : Gryon - Villars, en traction électrique dès l'origine. 1906 (12 août) : Villars - Chesières; le BGV est rebaptisé BGVC (Bex - Gryon - Villars - Chesières). 1913 (18 décembre) : ouverture du VB (Villars - Bretaye), branche divergente par rapport à l'antenne de Chesières, en traction électrique dès l'origine. 1943 (1er janvier) : création du BVB, par fusion du BGVC et du VB. 1963 (30 novembre) : suppression de Villars - Chesières. 1977 (1er juin) : création des TPC, qui n'est pas une société, mais une communauté d'exploitation, avec direction commune, de BVB, AL (Aigle - Leysin), AOMC (Aigle - Ollon - Monthey - Champéry) et ASD (Aigle - Sépey - Diablerets). 1999 (1er juillet) : TPC devient une société à part entière, suite à la fusion de AL, AOMC, ASD et BVB. Info + Cette modeste ligne n'accueille pourtant pas moins de trois types de trafic : urbain, avec le « tramway local » Bex - Bévieux; interurbain, avec la desserte entre Bex et les stations de Gryon, la Barboleuse et surtout Villars-sur-Ollon; montagnard, avec la branche sommitale Villars - Bretaye (le deuxième point culminant ferroviaire de Suisse romande – après les Rochers-de-Naye – et le premier en voie métrique). |
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Réseau DFB (Dampf-Furka-Bergstrecke) > Site |
Dessertes Oberwald (VS) - tunnel sommital de la Furka - Realp (UR) |
Voie 1 m à crémaillère |
Tens. Non électrifié (traction vapeur) |
Long. 17 km 490 |
Altitude maximale 2160 m, Furka-DFB Altitude minimale 1366 m, Oberwald |
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Chronologie 1915 (1er juillet) : Oberwald - Gletsch, par le BFD. 1925 (4 août) : le BFD est rebaptisé FO. 1926 (4 juillet) : Gletsch - Disentis/Mustér, via le tunnel sommital de la Furka (longueur 1858 m) et le col de l'Oberalp. 1942 (1er juillet) : électrification de Oberwald - Realp. 1981 (12 octobre) : suppression de Oberwald - Gletsch - Realp, avec dépose des installations électriques. 1982 (26 juin) : ouverture du tunnel de base de la Furka, entre Oberwald et Realp (longueur 15442 m). 1987 (27 novembre) : 1ère circulation du train touristique à vapeur DFB par l'ancien itinéraire de la Furka : tunnel sommital de la Furka - Gletsch. 1989 (14 octobre) : 1ère circulation DFB sur Realp - tunnel sommital. Info + Un chemin de fer touristique à vapeur qui emprunte l'ancien itinéraire sommital de la Furka (délaissé par le FO depuis l'ouverture du tunnel de base en 1982). Cet itinéraire permet notamment d'admirer le glacier du Rhône (qui a donné son nom au Glacier-Express... lequel ne circule plus devant le glacier depuis vingt ans !). Le train à vapeur roule entre Realp-DFB (gare située à proximité de Realp-FO), le tunnel sommital et Gletsch, tandis que le tronçon Gletsch - Oberwald est toujours fermé au trafic. L'ambition du DFB est d'ouvrir à terme l'intégralité de l'itinéraire sommital Realp - Oberwald, avec correspondance FO à chaque extrémité. |
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Réseau Romont - Bulle GFM (Gruyères - Fribourg - Morat, auj. Chemins de fer fribourgeois) > Plan |
Dessertes Romont - Bulle (FR) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 18 km 190 |
Altitude maximale 837 m, Sâles Altitude minimale 707 m, Romont |
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Chronologie 1868 (1er juillet) : ouverture du BR (Bulle - Romont). 1942 (1er janvier) : reprise du BR par le GFM. 1946 (8 mai) : électrification. |
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Réseau MC (Martigny - Châtelard) / TMR (Transports de Martigny et Région) > Plan | Site |
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Dessertes Martigny - Le Châtelard-Frontière (VS) (- Chamonix - St-Gervais) |
Voie 1 m en partie à crémaillère |
Tens. 850 V= |
Long. 18 km 360 (total Martigny - Chamonix - StGervais 54 km 970) |
Altitude maximale 1224 m, Finhaut Altitude minimale 467 m, Martigny |
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Chronologie 1906 (20 août) : ouverture du MC sur Martigny-Gare - Martigny-Ville - Le Châtelard-Frontière, en traction électrique dès l'origine, par 3e rail de Vernayaz au Châtelard. 1906 (24 octobre) : Martigny-Ville - Martigny-Bourg, antenne urbaine divergente par rapport à la ligne du Châtelard. 1908 (1er juillet) : tronçon transfrontalier Le Châtelard-Frontière - Vallorcine, en traction électrique dès l'origine par 3e rail; correspondance à Vallorcine avec les trains PLM de la ligne St-Gervais - Chamonix - Vallorcine. 1930 (1er février) : reprise de l'exploitation du tramway Martigny-Gare - Martigny-Ville - Martigny-Bourg par la nouvelle société TrMB (Tramway de Martigny-Bourg); le MC se concentre sur l'exploitation de la ligne du Châtelard, en tronc commun avec le TrMB de Martigny-Gare à Martigny-Ville. 1931 (1er mars) : ouverture de la ligne directe Martigny-Gare - La Bâtiaz (parallèle aux voies CFF), avec suppression du tronçon Martigny-Ville - La Bâtiaz; le tronçon urbain Martigny-Gare - Martigny-Ville n'est plus emprunté que par le TrMB. 1956 (31 décembre) : suppression du TrMB Martigny-Gare - Ville - Bourg. 1957 (2 juin) : train direct Martigny - Chamonix assuré par matériel MC, circulant de juin à septembre; remplacé à partir de l'été 1958 par une simple voiture directe MC attelée au matériel moteur MC puis SNCF, avec manoeuvres à Vallorcine. 1986 (été) : trains directs transfrontaliers Chamonix - Vallorcine - Finhaut, assurés par matériel SNCF, jusqu'au service d'été 1990. 1991 : remplacement du 3e rail par la caténaire sur Salvan - Trétien. 1992 : suppression de la voiture directe Martigny - Chamonix. 1993 : remplacement du 3e rail par la caténaire sur Trétien - Le Châtelard-Giétroz (auj. Châtelard-VS). 1996 (été) : transfert des correspondances MC / SNCF de Vallorcine au Châtelard-Frontière. 1997 : remplacement du 3e rail par la caténaire sur Le Châtelard-Giétroz - Le Châtelard-Frontière. 1997 (été) : lancement du « Mont-Blanc Express » direct entre Martigny, Chamonix et St-Gervais, assuré par du matériel panoramique commun MC / SNCF. Info + La grande et prestigieuse ligne franco-suisse à voie métrique, qui se développe sur 54 km 970 au total, dont 18 km 360 en Suisse et 36 km 610 en France (avec les fameux points de vue sur le Mont Blanc), la frontière étant située à proximité immédiate du Châtelard...-Frontière. Elle présente la particularité d'associer, pour le même courant, deux modes de captage différents : le rail de contact, utilisé sur l'ensemble du parcours français, ainsi que sur Vernayaz - Salvan (tronçon vertigineux à crémaillère) et Trétien - Châtelard-VS en Suisse; la caténaire, utilisée uniquement en Suisse, sur Martigny - Vernayaz (dès l'origine), Salvan - Trétien et Châtelard-VS - Frontière (ces deux sections équipées récemment en remplacement du rail électrique originel). Depuis 1997, la ligne bénéficie du « Mont-Blanc Express », service transfrontalier direct de qualité, du moins au niveau du matériel (les rames panoramiques Z 800). Mais en raison d'un trop petit nombre de rames (cinq au total), la fréquence est bien faible (de deux à quatre rotations par jour selon la saison) eu égard à la fréquentation en hausse due à l'engouement suscité. Si le MC peut compter sur son matériel BDeh 4/4 de 1957 et rénové de manière convaincante vers 1990 pour assurer le service intérieur Martigny - Châtelard, la SNCF-Mont-Blanc utilise les nouvelles Z 800 pour son service intérieur St-Gervais - Chamonix - Châtelard en remplacement des antiques Z 600 gardées en réserve (contemporaines du matériel MC, elles ont cependant très mal vieilli). Du coup, les fréquences des trains directs St-Gervais - Chamonix - Martigny souffrent de cette carence de matériel côté français. |
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Réseau BAM (Bière - Apples - Morges) > Plan | Site |
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Dessertes Morges - Apples - Bière (VD) |
Voie 1 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 19 km 080 (total BAM : 29 km 680) |
Altitude maximale 713 m, Ballens Altitude minimale 381 m, Morges |
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Chronologie 1895 (1er juillet) : ouverture entre Morges et Bière. 1943 (1er juillet) : électrification. 1997 (1er avril) : prolongement de 1 km 890, avec électrification, de la bifurcation de Bière à Bière-Casernes, pour une desserte à vocation militaire (exploitation assurée par l'armée helvétique). |
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Réseau WAB Wengernalp-Bahn > Plan |
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Dessertes Lauterbrunnen - Kleine Scheidegg - Grindelwald (BE) |
Voie 80 cm à crémaillère |
Tens. 1500 V= |
Long. 19 km 110 |
Altitude maximale 2061 m, Kleine Scheidegg Altitude minimale 797 m, Lauterbrunnen |
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Chronologie 1893 (20 juin) : ouverture. 1909 (3 juillet) : électrification de Lauterbrunnen - Kleine Scheidegg. 1910 (24 juin) : électrification de Kleine Scheidegg - Grindelwald. 1910 (7 juillet) : ouverture du deuxième itinéraire de Lauterbrunnen à Wengen : Wittimatte - Wengwald - Wengen, en traction électrique dès l'origine. Info + Le deuxième maillon, central, vers le Jungfraujoch, le toit ferroviaire de l'Europe, est à voie « très étroite » de 80 cm. À ses deux extrémités, Lauterbrunnen et Grindelwald, il relève la correspondance du BOB depuis Interlaken. En son milieu, il donne correspondance au JB (Jungfrau Bahn). À noter le double itinéraire Lauterbrunnen - Wengen : les trains s'arrêtant à Wengwald (sur demande, à formuler avant le départ) empruntent l'itinéraire de 1910; les trains directs (donc sans demande d'arrêt pour Wengwald) empruntent l'itinéraire de 1893. La circulation automobile est interdite à Wengen, tout comme sur l'ensemble de l'itinéraire du WAB, dénué de route : le train bénéficie donc de l'exclusivité d'accès (une situation similaire à celle de Zermatt). |
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Réseau M0 (Martigny - Orsières) / TMR (Transports de Martigny et Région) > Plan | Site |
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Dessertes Martigny - Sembrancher - Orsières (VS) |
Voie 1,435 m |
Tens. 15 kV ~ 162/3 Hz |
Long. 19 km 340 (Total MO : 25 km 520) |
Altitude maximale 902 m, Orsières Altitude minimale 467 m, Martigny |
Chronologie 1910 (1er septembre) : ouverture de Martigny - Orsières, en traction électrique 8 kV ~ 15 Hz dès l'origine. 1949 (16 février) : transformation en 15 kV ~ 16 2/3 Hz. Info + Une ligne qui laisse comme un goût d'inachevé, car elle était censée relier Aoste en Italie, via le Grand-St-Bernard, d'où son équipement en voie normale. |
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Réseau RER (Rhône Express Régional) / CFF > Plan |
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Dessertes Genève-Cornavin - La Plaine (GE) - Bellegarde (F-01) |
Voie 1,435 m |
Tens. 1500 V= |
Long. 19 km 810 |
Altitude maximale 434 m, Vernier-Meyrin Altitude minimale 356 m, La Plaine |
Chronologie 1858 (18 mars) : ouverture par la compagnie LG (Lyon - Genève). 1862 (1er janvier) : reprise du LG par le PLM. 1894 (1er janvier) : cession par le PLM de la partie suisse (La Plaine - Genève) à une compagnie ad hoc, le GP (Genève - Plaine). 1913 (1er janvier) : reprise du GP par les CFF. 1956 (27 septembre) : électrification (en tension « française » 1500 V= pour permettre la continuité depuis et vers Lyon). 1987 (31 mai) : réélectrification de Genève - Chatelaine en 15 kV ~ 16 2/3 Hz pour la liaison de Genève-Aéroport (mise en service ce jour-là). La liaison de La Plaine / Lyon reste assurée en 1500 V= (sur voie unique de Genève à Chatelaine, en tronc commun avec la double voie de Genève-Aéroport). 1994 (25 septembre) : ouverture du RER Genève - La Plaine. 2001 (automne) : le RER est prolongé aux heures de pointe en semaine jusqu'à Bellegarde (France). Info + Le RER Genève - La Plaine utilise un nouveau matériel léger type tramway ou métro léger (semblable à celui du TSOL de Lausanne, à part la tension, ici deux fois plus élevée, à 1500 V=). La desserte est exploitée par les CFF en partenariat avec les TPG (Transports Publics Genevois). Le tronçon Genève - La Plaine, le plus occidental des CFF et de toute la Suisse (La Plaine étant la gare suisse située le plus à l'ouest), est le seul des chemins de fer fédéraux à être électrifié avec une tension différente de l'habituel 15 kV monophasé. |
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